Absolute beast of a movie.
Gen Z and Millenials at my screening, giggling when Jack is drawing Rose, and clapping when the credits come. This movie is just cruising through generations like fine wine. James Cameron pulled out some sort of magic formula.
Comme lors de mes précédentes visions, j'ai un seul problème avec le film qui est la partie où Rose vient sauver Jack, ils remontent sur le pont, ils se retrouvent à nouveau dans les profondeurs parce qu'ils sont poursuivis par Cal, et ils doivent à nouveau remonter. Cette gymnastique du péril haut-bas-haut-bas-haut est un peu fatiguante, et le film pourrait probablement être amputé d'environ 10 minutes quelques part dans ces scènes-là.
J'adore le socle romanesque avec le portrait d'une jeune femme retrouvée dans les profondeurs de l'océan 80 plus tard, et ladite femme qui vient retrouver ses objets de jeunesse et conter son histoire. La critique sociale avec le contraste entre l'aristocratie et les classes moyennes et pauvres.
Je suis toujours impressionné par la capacité du film à générer du suspens sur des actions dont nous connaissons l'issue. Je suis toujours accroché à mon fauteuil quand le bateau est en train de ralentir et de tourner pour tenter d'éviter l'iceberg (alors qu'on sait tous qu'il va toucher). Je suis toujours touché par cette anxiété quand Rose met du temps à rappeller à l'aide le canot qui revient voir les passagers gelés et qui est sur point de repartir (alors que c'est elle qui raconte l'histoire).
Le film est accusé d'être niais. On parle d'une jeune femme qui va être mariée contre son gré à un connard impérial, ce qui la condamnera à une vie de bonne femme dans un milieu qu'elle ne supporte pas. Elle est au bord du suicide, et, après une phase initiale de résistance, part en roue libre lorsqu'elle fait la connaissance d'un jeune homme super cool. Donc, je note : l'empathie, c'est niais.
No comment
Yup. Still incredible.